Publié le 06-03-2018
Prix aux rayons, pas pris en considération !
Dans les grandes surfaces et les supermarchés, la pratique n’est pas exceptionnelle ni occasionnelle. Vous achetez à un certain prix affiché dans les rayons, ensuite vous vous trouvez face à une addition totalement différente de vos calculs. Nous étions intrigués par ce sujet, face à une situation réelle confrontée la veille.
Dans les grandes surfaces et les supermarchés, la pratique n’est pas exceptionnelle ni occasionnelle. Vous achetez à un certain prix affiché dans les rayons, ensuite vous vous trouvez face à une addition totalement différente de vos calculs. Nous étions intrigués par ce sujet, face à une situation réelle confrontée la veille.
Dans les grandes surfaces et les supermarchés, la pratique n’est pas exceptionnelle ni occasionnelle. Vous achetez à un certain prix affiché dans les rayons, ensuite vous vous trouvez face à une addition totalement différente de vos calculs. Nous étions intrigués par ce sujet, face à une situation réelle confrontée la veille.
La scène s’est passée hier soir dans l’un des supermarchés de renommée. Une mère de famille, ayant à peu près la quarantaine, s’est approchée du caissier en lui tendant un bout de papier. C’était bien, l’étiquette de prix, affichée dans un rayon de l’alimentaire. Sur l’étiquette, il y avait écrit : « Yaourt pêche, 180 millimes ». Ce n’était pas ce que la dame avait payé. Car, une fois devant la caisse, et après avoir récupéré son ticket, elle s’est rendue compte que les yaourts ont été comptabilisés à 220 millimes l’unité. C’est ainsi qu’elle a interrogé le caissier sur l’origine de l’erreur. Celui là, n’ayant pas donné de réponse claire et convaincante, la dame est partie en murmurant : ce n’est pas une erreur, celle là, c’est du vol, c’est de l’escroquerie! Pour elle, c’était une question de principe. Aussi minable la somme qu’elle devrait récupérer, elle refusait de se sentir dupée.
Cette pratique n’est pas exclusive à une marque, à un produit ou à une seule chaine de magasins. Oublis, nonchalance ou tout simplement arnaque ? Quelque soit la raison pour chaque cas, les responsables doivent être confrontés. Parce que si on entend à tort et à travers les termes transparence avec le client, confiance mutuelle, partenaire client… il faut bien en faire la preuve. Et surtout preuve de sérieux et de respect, en arrêtant de regarder le client comme un simple générateur de gain et abuser de son budget.
Pas mal de fois, les sommes affichées ne correspondent pas au prix réel du produit. Des fois même, on trouve la mention « en promotion » alors que la promotion est terminée. Des écarts de prix qui ne sont pas forcément énormes mais qui témoignent d’une malhonnêteté et d’un manque de respect pour la personne du consommateur qui reste la seule victime dans cette affaire. Cela se ressent, notamment quand il s’agit d’achats importants. Multiplions la différence des prix par le nombre des articles et imaginons la réaction du client face à une note qui dépasse ses prévisions budgétaires.
En revanche, seul le consommateur est capable d’arrêter ces effractions. Seul lui est témoin du vol. Il n’est pas moins responsable, également. Parce que, si personne ne dénonce des dépassements pareils, la situation sera de plus en plus grave. Il faut bien revendiquer son droit à une explication, à un remboursement, sur place et de ne pas se contenter de se plaindre auprès des autres, une fois l’histoire est terminée.
Amal
