Publié le 23-09-2025
Jihene El Ouakdi dévoile la 2ᵉ édition du Salon du Développement Durable les 16 et 17 octobre à Tunis
Le 15 et 16 octobre prochain, Tunis accueillera la 2ᵉ édition du Salon du Développement Durable, un rendez-vous devenu incontournable pour mettre en avant les initiatives qui allient économie verte, finance responsable et innovation sociale.
« L’idée est de rassembler toutes les parties prenantes — entrepreneures, startups, institutions, chercheurs, investisseurs et étudiants — pour créer une dynamique collective », explique Jihene El Ouakdi, organisatrice de l’événement.
Cette nouvelle édition mettra un accent particulier sur le rôle des femmes dans la promotion de la durabilité. « Nous voulons mettre en lumière celles qui ont cru en l’avenir de l’économie durable et qui ont osé entreprendre malgré les difficultés », souligne Mme El Ouakdi.
Au programme, un panel consacré à « l’entrepreneuriat féminin entre réussites et obstacles » qui permettra de valoriser des parcours inspirants et d’identifier les freins persistants.
La question du financement sera également au centre des échanges. Un panel réunira des experts autour des solutions alternatives : microfinance, fintech, crowdfunding et autres outils innovants. « Peut-on réduire le gap avec le financement classique ? », interroge l’organisatrice. « C’est un débat essentiel pour permettre à de nouveaux projets de voir le jour. »
Au-delà des conférences, le salon offrira des espaces de networking, de partage d’expériences et de développement de compétences. Des ateliers seront consacrés à la communication, au leadership et aux leviers pour transformer l’engagement durable en impact mesurable.
Avec cette 2ᵉ édition, le Salon du Développement Durable confirme sa vocation de plateforme de dialogue et d’action. En donnant la parole aux femmes entrepreneures et en explorant les nouvelles formes de financement, il ouvre la voie à un écosystème plus inclusif et innovant. « Ce n’est qu’en travaillant ensemble que nous pourrons transformer les défis en opportunités et bâtir une économie durable », conclut Mme El Ouakdi.
