La fin de la civilisation humaine est pour 2040, selon une étude

Si tout continue comme maintenant, dans trois décennies, notre « civilisation industrielle » pourrait s'effondrer en raison de pénuries alimentaires désastreuses, d'un enchaînement de catastrophes climatiques, d'une rareté de l'eau, d'une crise énergétique et d'une instabilité politique.

C’est en tout cas là les conclusions d’une étude menée par l'université anglaise d’Anglia Ruskin et rapportées par La Tribune. Une étude qui dépeint un tableau des plus sombres pour l'humanité et prédit  la fin du monde à l'horizon 2040.

 Une perspective alarmante mais évitable. A condition de changer nos habitudes. Changement climatique et réaction en chaîne Ces nouveaux modèles scientifiques, développés par l'université et soutenus par des composantes du gouvernement britannique, dont le ministère de l'Agriculture, tablent sur un phénomène de réaction en chaîne causée par l'Homme et son environnement en mutation.

Selon ces projections, il suffirait de trois catastrophes climatiques pour conduire à la réduction de la production et l'augmentation des prix, ce qui cristalliseraient des tensions à travers le monde et déstabiliseraient les gouvernements. Des émeutes de la faim éclatent dans des zones urbaines au Moyen-Orient, en Afrique du Nord et en Amérique Latine.

Les rapports pessimistes fleurissent, à l'image de ces recherches de l'université de Melbourne sur les limites à la croissance, sujet déjà évoqué il y a près de quarante ans dans un célèbre livre publié par un groupe d'étudiants. Ou encore cette étude des universités américaines Stanford, Princetons et Berkeley qui annonce que la sixième extinction animale de masse est en cours. Les gouvernements se préparent au pire au niveau économique et géopolitique, en commandant des projections en tout genre sur d'éventuelles crises pouvant survenir autour du globe.  

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