Publié le 06-03-2018
L’Orchestre Arabe de Barcelone à Hammamet
Le Festival International de Hammamet a accueilli hier, le mercredi 50 août 2009, les musiciens de l’Orchestre Arabe de Barcelone pour une soirée aux rythmes variés.
Le Festival International de Hammamet a accueilli hier, le mercredi 50 août 2009, les musiciens de l’Orchestre Arabe de Barcelone pour une soirée aux rythmes variés.
Né avec pour projet de promouvoir les répertoires traditionnels méditerranées, l’orchestre arabe de Barcelone se distingue également par ses compositions originales et la qualité des improvisations de ses musiciens. Point de ralliement de plusieurs expressions et cultures du vingtième siècle, la ville de Barcelone structure d’identité de ce groupe qui réunit huit musiciens de plusieurs origines, fédérés par leurs désir de fusion artistique et de métissage musical.
Chantant la paix, la terre, l’errance et l’appel du destin, l’Orchestre Arabe de Barcelone est un pont de musique reliant les rives et les cultures de la méditerrané. Le public a eu droit aux sons du violon de Mohamed Soulimane, la voix d’Ayoub Bout, les percussions d’Aziz El Khodari et de Mohamed El Ghozi, le luth de Yannis Papaioannou, le clavier de Jordi Gaig et la basse de Joan Rectoret.
Né avec pour projet de promouvoir les répertoires traditionnels méditerranées, l’orchestre arabe de Barcelone se distingue également par ses compositions originales et la qualité des improvisations de ses musiciens. Point de ralliement de plusieurs expressions et cultures du vingtième siècle, la ville de Barcelone structure d’identité de ce groupe qui réunit huit musiciens de plusieurs origines, fédérés par leurs désir de fusion artistique et de métissage musical.
Chantant la paix, la terre, l’errance et l’appel du destin, l’Orchestre Arabe de Barcelone est un pont de musique reliant les rives et les cultures de la méditerrané. Le public a eu droit aux sons du violon de Mohamed Soulimane, la voix d’Ayoub Bout, les percussions d’Aziz El Khodari et de Mohamed El Ghozi, le luth de Yannis Papaioannou, le clavier de Jordi Gaig et la basse de Joan Rectoret.
