Publié le 08-06-2022

Vidéo : ‘’cauchemar d’une Québécoise partie faire de la chirurgie esthétique en Tunisie’’

Saint-Onge, 27 ans, a aperçu sur les réseaux sociaux des contenus ventant les mérites de la Tunisie pour les opérations de chirurgie esthétique.



Vidéo : ‘’cauchemar d’une Québécoise partie faire de la chirurgie esthétique en Tunisie’’

Dans un article intitulé ‘’ «Je me suis réveillée dans du sang»: le cauchemar d’une Québécoise partie faire de la chirurgie esthétique en Tunisie,’’ le TVA nouvelles canada a abordé le sujet.


‘’Hémorragie, brûlure, nécrose... Une mère de famille québécoise de 27 ans partie en Tunisie pour faire une opération de chirurgie esthétique est rentrée au pays avec une plaie infectée qui lui laissera une cicatrice.

Tout a commencé lorsque Jasmine Saint-Onge, 27 ans, a aperçu sur les réseaux sociaux des contenus ventant les mérites de la Tunisie pour les opérations de chirurgie esthétique,’’ lit-ont dans l’article.

Un suivi catastrophique
Peu après l’opération, des complications médicales sévères sont apparues, et le corps médical a fait preuve d’un manque d’implication dans son suivi.


«Après ma chirurgie, le lendemain, lorsqu’on a fait le déballage de ma plaie abdominale, le chirurgien a remarqué une nécrose qui était en train de se former, et il m’avait dit qu’il allait prendre soin de moi. Il m’a rassuré en me disant que tout allait bien se passer», relate elle.


Après lui avoir promis qu’elle ne quitterait pas la Tunisie sans avoir reçu tous les soins nécessaires au suivi postopératoire classique, le médecin a modifié son pronostique, atténuant la gravité de la situation.


«Une fois arrivée à l’hôtel en Tunisie, c’était plus rendu une nécrose, c’était rendu une brûlure», s’est-elle indignée.
Hémorragie


«Le soir même, j’ai commencé à saigner de ma plaie, beaucoup». Encore une fois conseillée par les experts tunisiens de ne pas s’inquiéter, elle a laissé la plaie en l’état. «Le lendemain, je me suis réveillée dans du sang dans mon lit d’hôtel», raconte elle, «je n’ai même pas eu le temps de me rendre dans l’avion, j’ai dû aller dans les toilettes dans l’aéroport».
Prévention


Mme. Saint-Onge souhaite lancer un message d’alerte à toutes les personnes qui pourraient être intéressées par ces pratiques. Un travail de recherche est essentiel pour éviter de se retrouver dans sa situation.

«J’ai fait mes recherches pendant un an et demi, puis me voici», a-t-elle alerté. «Faites attention, on fait confiance à ce qu’on nous vend, mais il fut quand même poser toutes les questions».

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