Publié le 06-03-2018

JTC 2009 : Zoom sur le théâtre saoudien

 
Le 4ème art saoudien a marqué sa présence aux journées théâtrales de Carthage avec la pièce « Etat d’angoisse » de l’association de la culture et des arts de Taëf.



JTC 2009 : Zoom sur le théâtre saoudien

 

Le 4ème art saoudien a marqué sa présence aux journées théâtrales de Carthage avec la pièce « Etat d’angoisse » de l’association de la culture et des arts de Taëf. Cette pièce a été la fenêtre des invités et des fidèles des JCT sur le théâtre saoudien qui suscite beaucoup de curiosité vu sa situation émergente et ses particularités.

 

En effet, le théâtre saoudien essaye de se frayer son chemin entre ses équivalents arabes avec une volonté qui ne faillit pas et pourtant, il se trouve dans l’un des pays les plus conservateurs au monde ! C’est ce qui lui confère la spécificité d’être le théâtre sans femmes. Une spécificité qui est considérée comme un défaut par certains mais c’est loin d’être l’avis de Ibrahim Issiri, le directeur des relations publiques, de la communication et de la publication de l’association de la culture et des arts de Taëf qui a accepté de nous accorder une interview pour nous parler de l’expérience théâtrale en Arabie Saoudite.

 

Selon lui, le principal problème qui peut entraver la production théâtrale et cela s’applique à tous les pays arabes, c’est le manque de moyens financiers. En ce qui concerne les auteurs, il dit en avoir de très talentueux en Arabie Saoudite. Parmi eux, Fahd El Harithi qui a prêté son texte à la pièce « Etat d’angoisse ». Ce dernier a lui aussi généreusement répondu à nos questions concernant son parcours.

 

Regardez l’interview en vidéo :

 

 

Narjes


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