Publié le 06-03-2018

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Autodidacte, Sadri Fegaier dirige, à 39 ans, une société d’assurance valorisée à 1,7 milliard d’euros. Ambitieux, il s’est offert 11,34 % de Fnac Darty où ses méthodes font grincer des dents.
 



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Fondateur de la SFAM (Société française d’assurances multirisques), il apparaît sous les projecteurs de l’actualité le 6 février dernier. Ce jour-là, il met 330 millions d’euros sur la table et s’empare de 11,34 % du capital de Fnac Darty.
 
« C’est mon meilleur souvenir », glisse fièrement ce fils d’immigré franco-tunisien employeur de 1 500 salariés qui vient d’ouvrir quatre étages de bureaux sur la prestigieuse avenue Kléber, à Paris. Deuxième actionnaire du célèbre groupe de distribution, l’homme s’est fait une place derrière l’Allemand Ceconomy (24 % du capital) mais devant Vivendi (11 %) et plusieurs grands noms de la finance comme Natixis, Edmond de Rothschild ou J.P. Morgan.Fondateur de la SFAM (Société française d’assurances multirisques), il apparaît sous les projecteurs de l’actualité le 6 février dernier. Ce jour-là, il met 330 millions d’euros sur la table et s’empare de 11,34 % du capital de Fnac Darty.
« C’est mon meilleur souvenir », glisse fièrement ce fils d’immigré franco-tunisien employeur de 1 500 salariés qui vient d’ouvrir quatre étages de bureaux sur la prestigieuse avenue Kléber, à Paris. Deuxième actionnaire du célèbre groupe de distribution, l’homme s’est fait une place derrière l’Allemand Ceconomy (24 % du capital) mais devant Vivendi (11 %) et plusieurs grands noms de la finance comme Natixis, Edmond de Rothschild ou J.P. Morgan.Fondateur de la SFAM (Société française d’assurances multirisques), il apparaît sous les projecteurs de l’actualité le 6 février dernier. Ce jour-là, il met 330 millions d’euros sur la table et s’empare de 11,34 % du capital de Fnac Darty.
« C’est mon meilleur souvenir », glisse fièrement ce fils d’immigré franco-tunisien employeur de 1 500 salariés qui vient d’ouvrir quatre étages de bureaux sur la prestigieuse avenue Kléber, à Paris. Deuxième actionnaire du célèbre groupe de distribution, l’homme s’est fait une place derrière l’Allemand Ceconomy (24 % du capital) mais devant Vivendi (11 %) et plusieurs grands noms de la finance comme Natixis, Edmond de Rothschild ou J.P. Morgan.
Fondateur de la SFAM (Société française d’assurances multirisques), il apparaît sous les projecteurs de l’actualité le 6 février dernier. Ce jour-là, il met 330 millions d’euros sur la table et s’empare de 11,34 % du capital de Fnac Darty.
« C’est mon meilleur souvenir », glisse fièrement ce fils d’immigré franco-tunisien employeur de 1 500 salariés qui vient d’ouvrir quatre étages de bureaux sur la prestigieuse avenue Kléber, à Paris. Deuxième actionnaire du célèbre groupe de distribution, l’homme s’est fait une place derrière l’Allemand Ceconomy (24 % du capital) mais devant Vivendi (11 %) et plusieurs grands noms de la finance comme Natixis, Edmond de Rothschild ou J.P. Morgan.
 

H.B.N.

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