Publié le 06-03-2018
FIFAK 2009 : le cinéma a la parole !
Rassembler des centaines d’invités entre tunisiens et étrangers, entre cinéphiles, cinéastes amateurs et professionnels pour le Festival International du Cinéma Amateur de Kélibia qui se tient du 25 juillet au 1er août 2009 ne peut passer sans une interaction, par le biais du cinéma, entre tous ces assoiffés de découvertes et d’échanges.
Rassembler des centaines d’invités entre tunisiens et étrangers, entre cinéphiles, cinéastes amateurs et professionnels pour le Festival International du Cinéma Amateur de Kélibia qui se tient du 25 juillet au 1er août 2009 ne peut passer sans une interaction, par le biais du cinéma, entre tous ces assoiffés de découvertes et d’échanges.
Pour ceux-là, le programme du FIFAK se ramifie en un ensemble d’occasions pour échanger les opinions et les expériences, toujours autour de la passion pour le cinéma. En effet, au lendemain de chaque projection, les festivaliers sont invités à un débat sur les films de la veille en présence, le cas échéant, des réalisateurs. Une occasion pour confronter ses propres interprétations et interrogations sur les films avec celle des autres, notamment le concepteur même du film.
D’ailleurs, les présents ont pu profiter, dimanche 26 juillet 2009, de l’expérience de Samir Abdallah, le réalisateur de « Gaza-Strophe », le film projeté à l’ouverture du festival. Ce dernier a également débattu avec eux sur le thème « filmer Gaza pendant et après la guerre ». Français d’origine égyptienne, Samir Abdallah est l’auteur d’un grand nombre de documentaires à succès comme « La ballade des sans papier » (1996) et « Ecrivais sans frontières » (2004).
Le lundi, c’était au Tour du fameux réalisateur burkinabé Gaston Kaboré, qui, par sa grande sagesse et son expérience cultivée au fil de son long parcours, lui qui est à la direction d’une école de cinéma dans son pays natal, a enchanté le public dans un débat qui a duré des heures. Gaston Kaboré est également président du jury international dont Samir Abdallah est membre.
Dans les jours qui suivront, les rencontres continuent avec les réalisateurs de la section « ils ont commencé au FIFAK » et avec l’acteur Kamel Touati, membre du jury international sur le thème « entre scène de théâtre et plateau de tournage ». Il y aura également trois débats sur « le cinéma amateur d’aujourd’hui », « le nouveau cinéma syrien » et « le cinéma d’animation ».
Pour ceux-là, le programme du FIFAK se ramifie en un ensemble d’occasions pour échanger les opinions et les expériences, toujours autour de la passion pour le cinéma. En effet, au lendemain de chaque projection, les festivaliers sont invités à un débat sur les films de la veille en présence, le cas échéant, des réalisateurs. Une occasion pour confronter ses propres interprétations et interrogations sur les films avec celle des autres, notamment le concepteur même du film.
D’ailleurs, les présents ont pu profiter, dimanche 26 juillet 2009, de l’expérience de Samir Abdallah, le réalisateur de « Gaza-Strophe », le film projeté à l’ouverture du festival. Ce dernier a également débattu avec eux sur le thème « filmer Gaza pendant et après la guerre ». Français d’origine égyptienne, Samir Abdallah est l’auteur d’un grand nombre de documentaires à succès comme « La ballade des sans papier » (1996) et « Ecrivais sans frontières » (2004).
Le lundi, c’était au Tour du fameux réalisateur burkinabé Gaston Kaboré, qui, par sa grande sagesse et son expérience cultivée au fil de son long parcours, lui qui est à la direction d’une école de cinéma dans son pays natal, a enchanté le public dans un débat qui a duré des heures. Gaston Kaboré est également président du jury international dont Samir Abdallah est membre.
Dans les jours qui suivront, les rencontres continuent avec les réalisateurs de la section « ils ont commencé au FIFAK » et avec l’acteur Kamel Touati, membre du jury international sur le thème « entre scène de théâtre et plateau de tournage ». Il y aura également trois débats sur « le cinéma amateur d’aujourd’hui », « le nouveau cinéma syrien » et « le cinéma d’animation ».
Narjes
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