Publié le 06-03-2018
Sherman Robertson : 17 Avril 2010 : Jazz à Carthage
Il y a des artistes qui donnent le meilleur d'eux-mêmes en studio, dans l'intimité et la familiarité de leurs musiciens et techniciens et puis il y a les bêtes de scène...
La scène sous haute tension !
Il y a des artistes qui donnent le meilleur d'eux-mêmes en studio, dans l'intimité et la familiarité de leurs musiciens et techniciens et puis il y a les bêtes de scène. Sherman Robertson est de ceux-là.
On aurait pu le surnommer le "Monsieur 100 000 Volts" du Blues si l'étiquette ne collait pas encore si bien à Gilbert Bécaud…
Pour Sherman Robertson, nulle part ailleurs que sur scène, dans ce contact avec le public, dans cet échange si particulier, l'artiste ne peut donner toute sa mesure… En ce qui le concerne, il faudrait parler de démesure ! Comme disent les plus jeunes : il assure, grave !!
Faut-il commencer à chauffer les « darbouka » pour lui donner la réplique ?
Il y a des artistes qui donnent le meilleur d'eux-mêmes en studio, dans l'intimité et la familiarité de leurs musiciens et techniciens et puis il y a les bêtes de scène. Sherman Robertson est de ceux-là.
On aurait pu le surnommer le "Monsieur 100 000 Volts" du Blues si l'étiquette ne collait pas encore si bien à Gilbert Bécaud…
Pour Sherman Robertson, nulle part ailleurs que sur scène, dans ce contact avec le public, dans cet échange si particulier, l'artiste ne peut donner toute sa mesure… En ce qui le concerne, il faudrait parler de démesure ! Comme disent les plus jeunes : il assure, grave !!
Faut-il commencer à chauffer les « darbouka » pour lui donner la réplique ?
