Publié le 06-03-2018
‘Le ruban blanc’ Palme d’Or Cannes 2009 au CinémAfricArt
« Le ruban blanc », long-métrage de l’autrichien Michael Haneke et Palme d’Or du Festival de Cannes 2009 sera dès demain jeudi 29 octobre 2009 en projection au CinémAfricArt.

« Le ruban blanc », long-métrage de l’autrichien Michael Haneke et Palme d’Or du Festival de Cannes 2009 sera dès demain jeudi 29 octobre 2009 en projection au CinémAfricArt.
Plus qu’une occasion de découvrir ce chef d’oeuvre du septième art, la projection du ruban blanc en Tunisie est un événement en lui-même, puisque le film passe en même temps dans les salles des villes européennes et à une semaine près de sa sortie en France.
Le CinémAfricArt est derrière cette initiative qui va en ravir plus d’un de nos cinéphiles avertis. Il est annoncé que le film restera en salle du 28 octobre au 18 novembre 2009. Sachant que 3 séances (15h30, 18h30 et 21h) sont programmées par jour, vous n’avez pas d’excuse pour rater le film !
Narjes
Le Ruban Blanc
Réalisateur : Michael Haneke
Genre : Drame
Durée : 2h24 min
Casting : Levin Henning, Johanna Busse, Yuma Amecke, Thibaut Sérié, Susanne Lothar, Josef Bierbichler…
Synopsis : Un village protestant de l'Allemagne du Nord à la veille de la Première Guerre mondiale (1913/1914). L'histoire d'enfants et d'adolescents d'une chorale dirigée par l'instituteur du village et celle de leurs familles : le baron, le régisseur du domaine, le pasteur, le médecin, la sage-femme, les paysans... D'étranges accidents surviennent et prennent peu à peu le caractère d'un rituel punitif. Qui se cache derrière tout cela ?
Avis de la presse :
Cahiers du Cinéma : « Le vertige de l'innocence et la quête désespérée d'un âge d'or constituent in fine la seule source identifiable du mal. C'est en ce sens seulement que le film d'Haneke, (...) pense, condamne et expérimente, dans la rudesse parfois éprouvante de ses cent quarante-cinq minutes, toute forme d'oppression. »
Le Nouvel Observateur : « Un noir et blanc somptueux, des acteurs magnifiques, une maîtrise saisissante de toutes les possibilités qu'offre le cinéma (...) »
Le Figaroscope : « Michael Haneke signe une oeuvre aussi remarquable que redoutable, nette et coupante comme une lame, opaque et dense comme un brouillard. »
Positif : « Avec maestria, Haneke a déjoué tous les pièges du film d'époque pour signer une fable dont la beauté des images en noir et blanc et les finesses de la mise en scène invitent le spectateur à la réflexion »
