Publié le 06-03-2018

La coupe du monde, se joue aussi dans les gradins et dans les postes de police

Emotions, drôles de tenues et scandales aussi. C’est la réalité des supportrices à la coupe du monde 2010, toutes nationalités confondues. Les caméras se sont régalées pendant les matches à capter ces supportrices dans tous leurs états. Mais l’excès a fait agité également le tribunal.



La coupe du monde, se joue aussi dans les gradins et dans les postes de police

Emotions, drôles de tenues et scandales aussi. C’est la réalité des supportrices à la coupe du monde 2010, toutes nationalités confondues. Les caméras se sont régalées pendant les matches à capter ces supportrices dans tous leurs états. Mais l’excès a fait agité également le tribunal.
 
Les filles, quand elle s’y mettent, dépassent de loin les garçons dans leur amour du football. Encourager son équipe nationale, se transforme en art et d’un imaginaire parfois débordant. Les supportrices qui se maquillent avec les couleurs du drapeau, n’est plus un phénomène nouveau. Elles n’hésitent pas à montrer leur patriotisme sportif avec des tenues extravagantes et des comportements frôlant des fois l’insolence. Les supportrices anglaises et africaines demeurent les plus sobres, les américaines et les italiennes les plus sexy (voir les photos en bas) mais les néerlandaises sont les plus scandaleuses. Pour elles, tous les moyens sont bons pour encourager l’honneur de la patrie. Quitte à passer la nuit dans un poste de police.
 
Il y a deux semaines, Trente-six magnifiques Néerlandaises ont attiré les caméras du monde entier. Elles enflammaient les gradins, toutes vêtues avec la même robe orange, la couleur de leur équipe. Mais aussi le nom de marque du brasseur, Bavaria, qui leur a fait ce cadeau. Problème : cette société n'est pas un partenaire officiel du Mondial. Les jeunes femmes ont été arrêtées à la sortie du stade et entendues pendant plusieurs heures par la police. La FIFA a porté plainte pour "publicité clandestine" contre le brasseur.  L'affaire a failli virer vers une crise diplomatique. Heureusement pour les supportrices, un accord a été fait entre la FIFA et la brasserie après quoi la fédération avait abandonné l’affaire. Les néerlandaises ont été cependant, libérées, contre une caution de 1000 euros chacune. Cela vaut beaucoup mieux qu’une prison africaine, en tout cas.
 
Amal

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