Publié le 06-03-2018
Des femmes prêtes à tout !
Elles se font construire une image de "fille de bonne famille" comme on a coutume de dire. Pour faire simple et court, une femme tunisienne au profil utopique, que tout homme désire prendre pour épouse.
Elles se font construire une image de "fille de bonne famille" comme on a coutume de dire. Pour faire simple et court, une femme tunisienne au profil utopique, que tout homme désire prendre pour épouse.
Elles dédient leurs existences à la conquête non pas de l’âme sœur mais de celui qui réalisera leurs rêves, leurs rêves de jeunes filles qu’elles nourrissent en regardant de feuilletons et films à l’eau de rose, qui leur dictent une morale imprégnée d’une vision simpliste du bonheur : luxe et argent.
Elles se font construire une image de "fille de bonne famille" comme on a coutume de dire. Pour faire simple et court, une femme tunisienne au profil utopique, que tout homme désire prendre pour épouse.
Pour appâter ces hommes, elles usent de stratégies diverses. Chacune à sa manière, il y a celle qui mène une vie de dépravée sociale, se soule, et couche à volonté. Quand le moment est venu de se trouver un mari, elle revêt l’auréole de l’innocence, se fait recoudre l’hymen, et prie le bon dieu de lui attribuer sa part du bonheur.
Il y a la crédule, qu’une éducation restrictive, et une vie baignée dans l’univers des femmes qui n’aspirent qu’au mariage, a transformé en une femme qui se croit inférieur à l’homme, et dont le bonheur dépendra de sa vie en tant qu’épouse, de sa fécondité future, et de son rôle en tant que femme au foyer. Elle se préserve pour le moment venu, se forme aux traditions et coutumes tunisiennes. Elle ne fréquente pas les hommes mais lors des fêtes de mariages et affiliées, elle parade dans une sorte de danse nuptiale, pour épater les prétendants qu’un déhanchement bien élaboré, séduit!
Il y aussi celle qui par désespoir, ou immoralité, courtise les hommes mariés, en espérant que l'un de ces derniers, quitte femme et enfants pour lui offrir ce qu’elle tant espéré, une vie de femme bien rangée.
Ces femmes dont les portraits semblent émaner d’une fiction, existent bel et bien, elles sont à l'image de la société tunisienne, une société minée par les vices qui essaye tant bien que mal de donner de faux allures de sainte.
Elles se font construire une image de "fille de bonne famille" comme on a coutume de dire. Pour faire simple et court, une femme tunisienne au profil utopique, que tout homme désire prendre pour épouse.
Pour appâter ces hommes, elles usent de stratégies diverses. Chacune à sa manière, il y a celle qui mène une vie de dépravée sociale, se soule, et couche à volonté. Quand le moment est venu de se trouver un mari, elle revêt l’auréole de l’innocence, se fait recoudre l’hymen, et prie le bon dieu de lui attribuer sa part du bonheur.
Il y a la crédule, qu’une éducation restrictive, et une vie baignée dans l’univers des femmes qui n’aspirent qu’au mariage, a transformé en une femme qui se croit inférieur à l’homme, et dont le bonheur dépendra de sa vie en tant qu’épouse, de sa fécondité future, et de son rôle en tant que femme au foyer. Elle se préserve pour le moment venu, se forme aux traditions et coutumes tunisiennes. Elle ne fréquente pas les hommes mais lors des fêtes de mariages et affiliées, elle parade dans une sorte de danse nuptiale, pour épater les prétendants qu’un déhanchement bien élaboré, séduit!
Il y aussi celle qui par désespoir, ou immoralité, courtise les hommes mariés, en espérant que l'un de ces derniers, quitte femme et enfants pour lui offrir ce qu’elle tant espéré, une vie de femme bien rangée.
Ces femmes dont les portraits semblent émaner d’une fiction, existent bel et bien, elles sont à l'image de la société tunisienne, une société minée par les vices qui essaye tant bien que mal de donner de faux allures de sainte.
Y.L
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