Ben Ali aurait quitté la Tunisie pour éviter une intervention de l’OTAN

Les évènements qu’a vécus la Tunisie, entre le 17 Décembre 2010 et le 14 Janvier  2011 demeurent un mystère à élucider. Des sources politiques bien informées auraient remis la fuite de Ben Ali, sous les projecteurs… 

Des sources politiques auraient révélé, au quotidien Echourouk, que Ben Ali avait décidé de prendre la fuite après qu’il ait reçu des informations selon lesquelles des parties du régime auraient comploté  en vue de le renverser avec la participation de parties étrangères.  Le président déchu aurait également appris que l’OTAN, suite à une décision du Conseil de la Sécurité,  se préparait pour une intervention en Tunisie.

 Si l’on revient un peu arrière…

Selon les mêmes sources, les vagues de protestations d’entre le 17 Décembre et le 14 Janvier, ont été accompagnées de l’écartement de certaines parties « de confiance » relatives à l’organisme sécuritaire générant ainsi l’absence de « rapports clairs » sur la situation du pays.  

Par ailleurs, en réponse aux protestations ayant éclaté suite à l’immolation de Mohamed Bouazizi, Ben Ali a prononcé trois discours en vue de calmer l’atmosphère. Echec total, quoique les trois discours fussent une réponse positive aux revendications populaires.

Le Qatar impliqué ?

Parallèlement à l’infiltration du système sécuritaire, des parties étrangères au pouvoir et d’autres relatives au régime auraient manigancé le renversement de Ben Ali. En effet, les médias qataris auraient joué un rôle pionnier dans le déroulement des évènements.

Al Jazeera aurait utilisé une technologie de pointe pour le montage des vidéos et photos lors de la couverture du soulèvement populaire en Tunisie. L’intensification de la couverture médiatique avait pour objectif : la diversion pour que le pouvoir ne se rende pas compte de ce qui se trame en interne et une bonne excuse pour que l’OTAN puisse intervenir.  

 Ben Ali aurait-il sauvé la tunisie d’une intervention militaire ?  

D’après les mêmes sources, encore une fois, Ben Ali comptait entreprendre certaines réformes et annoncer des décisions probablement fatidiques… Or, les données qu’il a reçues au dernier moment l’auraient incité à partir.

Ces informations stipulant que l’Occident a déjà préparé un plan d’action pour la majorité des pays arabes, entre autre la Tunisie. Ben Ali aurait, donc, préféré prendre la fuite afin d’empêcher l’écroulement du pays et d’épargner au peuple tunisien une intervention militaire et peut être des violences sans précédent… 

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