Publié le 06-03-2018
Tarek Ben Ammar accuse : les médecins de M. Jackson sont « des criminels » !
L’ami et le manager du défunt Michael Jackson, Tarek Ben Ammar, a accusé, en direct sur Europe 1, les médecins du chanteur qui lui donnaient des médicaments pendant des années. Il les a qualifiés de criminels et de charlatans qui, selon lui, profitent de son argent.
L’ami et le manager du défunt Michael Jackson, Tarek Ben Ammar, a accusé, en direct sur Europe 1, les médecins du chanteur qui lui donnaient des médicaments pendant des années. Il les a qualifiés de criminels et de charlatans qui, selon lui, profitent de son argent.
L’ami et le manager du défunt Michael Jackson, Tarek Ben Ammar, a accusé, en direct sur Europe 1, les médecins du chanteur qui lui donnaient des médicaments pendant des années. Il les a qualifiés de criminels et de charlatans qui, selon lui, profitent de son argent.
Ce sont des « criminels …qui l’ont soigné tout au long de sa carrière, et qui lui ont détruit le visage.. » a ajouté Tarek Ben Ammar, qui a partagé avec le roi de la Pop 50 concerts entre 1996 et 1998. Avec une grande douleur, le producteur tunisien a dénoncé que « C’était un hypocondriaque et on ne savait jamais vraiment s’il était malade parce qu’il a été entouré de médecins charlatans qui vivaient de sa maladie".
Avant sa mort, les secouristes ont tenté pendant plus d’une heure de réanimer Michael après une apparente crise cardiaque. La cause du décès a été déclarée officiellement, au cours d’une conférence de presse chargée d’émotions, quelques heures après le décès soudain du chanteur. En effet, sa mort est causée par un arrêt cardiaque irrémédiable.
Agé de 50 ans, le Roi de la Pop était toujours entouré de médecins qui ne voulaient jamais trancher s’il avait une grave maladie ou pas. Cependant, il est certain que le petit Jackson avait des douleurs et des complications causées par les transformations. Pour calmer ces douleurs, selon Ben Ammar, « Il ne prenait pas de la drogue mais il prenait des médicaments qui ne pouvaient qu’esquinter le corps".
Henda
