Publié le 06-03-2018

Des filles mineures tunisiennes en «offrande» pour les djihadistes

Le «cheikh» wahabite Mohamed el-Arifi a émis une fetwa autorisant des «mariages» de deux à trois heures avec des filles mineures de 14 ans en vue de favoriser le «repos des guerriers» qui se battent en Syrie contre Bachar Al-Assad. Incroyable mais, hélas, vrai. La Tunisie donne l’air d’être tombée sous la coupe totale des monarchies du Qatar et d’Arabie saoudite.



Des filles mineures tunisiennes en «offrande» pour les djihadistes

Des témoignages recoupés, dont celui de la militante démocrate Yasmine Nedjar, sur «Tunisie Maghrébine», indiquent que «des jeunes paumés, drogués, privés de tout, se sont retrouvés du jour au lendemain roulant sur l’or, dotés de puissants véhicules tout-terrain, et prêts à aller se battre en Syrie contre le grand méchant Bachar Al- Assad et son régime d’apostat».

Le Qatar et l’Arabie saoudite, en train de perdre pied dans leur guerre par procuration contre Damas, agissant euxmêmes en qualité de sous-traitants pour le compte des Américains et des Sionistes, donnent ainsi l’air de mettre le paquet pour tenter de redresser la balance en faveur des terroristes qu’ils entraînent en Libye avant de les envoyer massivement faire le coup de feu en Syrie.

Or, la Tunisie, fragilisée par son faux printemps entrant dans le cadre du GMO (Grand moyen-Orient), offre un vivier inépuisable de jeunes paumés qui pensent avoir trouvé le salut dans la voie du djihad. Comme rapporté par notre journal dans une précédente édition, deux mille d’entre eux, parfaitement identifiés, car ne s’en cachant même pas et se montrant fort loquaces sur les réseaux sociaux, se battent actuellement en Syrie.

Ce chiffre a même dû être revu à la hausse, même si la chute de Qosseïr a dû en pousser certains à rentrer au bercail. Voilà pourquoi, du reste, la Tunisie fait face à une poussée de fièvre terroriste qui est encore loin d’avoir atteint son pic à travers les combats qui se déroulent toujours au niveau du mont Chaâmbi, non loin des frontières avec l’Algérie.

Beaucoup d’experts, qui n’hésitent d’ailleurs pas à comparer la Tunisie d’aujourd’hui à l’Algérie des années 90, avec en prime une armée incapable de faire face à un pareil phénomène et des islamistes (prétendument modérés) déjà arrivés au pouvoir, prédisent une flambée terroristes qui n’épargnerait ni les grandes villes, ni les sites balnéaire de ce pays.

Plus grave encore. Les émirats du Golfe, où un autoritarisme dictatorial règne en maître absolu, n’hésitent désormais devant aucune barrière morale pour pousser le bouchon toujours plus loin. C’est ainsi qu’un prétendu cheikh, encore plus pervers et plus sanguinaire qu’El Qaradaoui, vient de rendre une «fetwa» bestiale, criminelle, intolérable, qui autorise aussi bien les viols que les actes pédophiles.

Ce malade mental, qui mérite un internement immédiat, le sieur Mohamed El-Arifi, a en effet émis une «fetwa» qui autorise des «mariages» de quelques heures à peine avec des jeunes filles de 14 ans à peine.

Depuis, certaines régions de la Tunisie sont tout simplement en état d’alerte, apprend-on de sources recoupées. Cette «fetwa» en effet, aurait poussé certains de ces djihadistes en herbe à enlever de jeunes mineures tunisiennes avant de les livrer en pâture aux activistes criminels d’Al-Nosra.

Des cas avérés, en effet, sont signalés par plusieurs sources recoupées et crédibles. Avant ces malheureuses victimes, plusieurs jeunes tunisiennes avaient été «appâtées» par l’idée d’aller se battre, venir au secours de leurs «frères et soeurs» musulmans, prétendument massacrés par les Alaouites d’Al-Assad.

La plupart d’entre elles ont fini par devenir de véritables esclaves sexuelles, uniquement chargées d’assouvir les bas instincts de terroristes sanguinaires que les Occidentaux continuent quand même de soutenir, et qu’ils projettent de doter d’armements lourds et sophistiqués


algérie360

Dans la même catégorie