Publié le 06-03-2018
Tahar Hmila ne pardonne pas à Marzouki…
L’ancien député à l’Assemblée constituante est encore en colère contre l’ancien président Moncef Marzouki, pour sa décision de fermeture de l’ambassade de Syrie en Tunisie.
Intervenant, ce lundi 25 mai 2015 à Politika, sur Jawhrafm, Tahar Hmila a expliqué que cette décision soudaine est « un crime impardonnable » pour les Tunisiens résidents en Syrie.
On ne peut pardonner un tel acte cause de souffrances pour plusieurs Tunisiens.